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Qui sommes-nous ?

La marque F. Brovia s’est imposé comme une des entreprises leader et incontournable dans le secteur des professionnels de l’immobilier avec la sécurité de biens de personnes mais également au niveau des services pour des particuliers ou professionnels.

 

De par son expérience SIM06, Franck Brovia a su développer ses secteurs d'activités pour répondre à de nouveaux besoins tout en respectant les valeurs qui, à ce jour, sont encore celle que le groupe défend.

 

Depuis l'analyse sur le terrain jusqu'à l’installation, la maintenance, et la gestion de tous les produits et solutions que le groupe répondent à des critères élevés d'éfficacité et de rentabilité.

 

Aujourd’hui avec nos partenaires choisis nous ouvrons la porte pour complémentariser nos offres de services avec l’esprit d’être plus performant avec nos défibrillateurs. Avec des commerciaux, des techniciens, des collaborateurs eux-mêmes formés pour répondre a vos attentes de performance.

 

Alors ensemble sauvons des vies !!!

• Il n’existe pas de risque pour la victime car elle serait de toute façon condamnée si on n’effectuait aucun

geste d’urgence. Le défibrillateur détermine automatiquement la nécessité du choc électrique et son

intensité. Ainsi, il ne délivrera pas de choc s’il perçoit que le cœur a un fonctionnement qui ne justifie pas ce

traitement.

 

• L’humidité excessive (pluie, victime mouillée) ou un environnement métallique (victime sur un échafaudage,

etc) peuvent conduire à des difficultés d’ordre électrique : d’une part, le test automatique de l’activité

cardiaque peut être faussé et, d’autre part, le choc peut être ressenti par les personnes se trouvant à

proximité de la victime. C’est pourquoi le défibrillateur ne doit pas être utilisé tant que ces circonstances

défavorables ne sont pas éliminées.

 

• Les données médicales enregistrées par l’appareil (résultats du test, nature des chocs délivrés, etc) peuvent,

sur certains modèles, être mises immédiatement à disposition des services de secours pour faciliter la prise

en charge de la victime.

 

Y a-t-il un risque dans l’utilisation de l’appareil ?

• Contrairement à une idée répandue, l’utilisation d’un défibrillateur ne permet pas à elle seule de réanimer

une personne. En réalité, l’appareil complète et facilite les gestes de réanimation cardio-pulmonaire que

l’on apprend lors des formations de secourisme. De ce fait, même si le décret du 4 mai 2007 indique que les

défibrillateurs externes automatisés peuvent juridiquement être mis en œuvre par « toute personne », il est

préférable que les utilisateurs aient reçu une formation pour pouvoir les manipuler efficacement.

 

• L’utilisation du défibrillateur fait en effet partie d’un enchaînement d’actions que l’on doit connaître, depuis

la découverte de la victime jusqu’à sa prise en charge par les services de secours. Ces mesures peuvent

paraître intuitives (par exemple téléphoner au 15 en présence d’une personne faisant un malaise

cardiaque), certaines sont rappelées par le défibrillateur automatisé (par exemple ne pas toucher la victime

pendant le test d’activité cardiaque), d’autres enfin nécessitent la maîtrise de certains gestes (par exemple

effectuer un massage cardiaque). Les utilisateurs aient reçu une formation pour pouvoir les manipuler

efficacement.

 

• Il est donc préférable d’avoir préalablement acquis ces connaissances lors d’une formation adaptée. Celle-ci

peut être intégrée à une formation de secouriste ou prendre la forme d’une simple initiation dispensée par

un organisme spécialisé, tel que défini par l’arrêté du 6 novembre 2009. Cet arrêté définit également le

contenu et la durée de cette initiation, sans toutefois la rendre obligatoire (ce qui irait à l’encontre du décret

du 04 mai 2007 qui stipule que « toute personne » peut mettre en œuvre les DAE).

 

• Concernant le monde de l’entreprise, le code du travail rend obligatoire la formation de secouristes dans

chaque atelier où sont accomplis des travaux dangereux ainsi que sur les chantiers employant vingt

travailleurs au moins pendant plus de quinze jours. Pour les autres postes, le code indique que « l’employeur

organise et dispense une information des travailleurs sur les risques pour la santé et la sécurité et les

mesures prises pour y remédier ». Il précise (R4141-3) que la formation à la sécurité doit notamment porter

sur la conduite à tenir en cas d’accident.

 

• Ainsi, si l’entreprise fait le choix de s’équiper d’un défibrillateur, on ne peut que recommander à

l’employeur, pour répondre à son obligation de formation, d’inscrire ses salariés à une session de

secourisme ou d’initiation la plus adaptée à la mise en œuvre de l’appareil qu’il aura choisi. Afin de faciliter

l’appropriation des gestes, on choisira pour la formation un modèle de défibrillateur si possible identique à

celui équipant l’entreprise.

 

Faut-il être formé pour utiliser un défibrillateur ?

Comment fonctionne un défibrillateur ?

• Le défibrillateur comporte une batterie ou une pile spéciale lui assurant son autonomie électrique. Ses

électrodes que l’on place sur la victime permettent dans un premier temps à l’appareil d’effectuer une

analyse de la situation cardiaque. En fonction du résultat de ce test, le défibrillateur détermine la marche à

suivre et l’indique au secouriste par un message vocal, des témoins lumineux et/ou un écran d’affichage. Par

exemple, l’appareil peut indiquer de délivrer un choc (dont il calcule automatiquement les caractéristiques

électriques) ou de commencer une réanimation cardio-pulmonaire. L’analyse de l’activité cardiaque se

poursuit à intervalles réguliers par l’intermédiaire des électrodes afin d’adapter les gestes à effectuer.

 

• Si la défibrillation est effectuée rapidement (dans les toutes premières minutes après le début de la

fibrillation), on augmente significativement les chances de survie. Différentes études statistiques existent sur

le sujet, en particulier aux Etats-Unis où l’usage des défibrillateurs est répandu. Pour apporter un ordre

d’idée, on estime en général qu’une fibrillation non traitée dans les 7 minutes a une issue mortelle à 98%

alors que si une défibrillation est pratiquée avant la 3ème minute, associée à une réanimation cardio-

pulmonaire, le taux de survie passe à 20%. Cela est certes peu mais déjà dix fois plus qu’en ne pratiquant

aucun geste ! Avec une prise en charge précoce, on peut même atteindre 38 % de survie sans aucune

séquelle.

Quel type choisir : entièrement automatique ou semi-automatique ?

• Le décret du 4 mai 2007 précise que les appareils externes utilisables par toute personne sont les

défibrillateurs entièrement automatiques (DEA) et les défibrillateurs semi-automatiques (DSA).

• Le fonctionnement des deux types est identique, à la différence que le DSA ne délivre le choc qu’après que le

secouriste aura appuyé sur un bouton alors que le DEA délivre de lui-même le choc en fonction de son

analyse automatique de l’activité cardiaque.

• Le choix devra donc se faire surtout en fonction des conditions d’utilisation prévisibles, l’important étant

qu’un salarié sache mettre en œuvre l’appareil rapidement.

 

• Pour être efficace, le défibrillateur doit pouvoir être mis en œuvre très rapidement. Les installateurs

préconisent que l’accessibilité permette une intervention sur la victime en moins de trois minutes. On

évitera ainsi par exemple de placer le défibrillateur dans un poste de garde éloigné du centre de l’entreprise.

 

• Dans un lieu ouvert au public, il est préférable que l’appareil soit placé sous surveillance, par exemple en

l’implantant près de salariés à poste fixe ou dans un boîtier sous alarme. Cela ne doit pas empêcher son

accès immédiat par le public.

 

• On favorisera également la proximité avec les lieux où les accidents cardiaques sont les plus probables, par

exemple dans un magasin de stockage où de nombreux efforts de manutention sont possibles.

 

• L’emplacement choisi doit être signalé (article R4224-23 du code du travail) et les salariés informés.

 

• Pour éviter d’endommager les piles et les électrodes, l’appareil doit être placé dans une ambiance

thermique qu’il peut accepter. Les fabricants préconisent en général une plage de +5°C à +70°C. Cela peut

conduire à placer l’appareil dans un coffret chauffé ou refroidi s’il est implanté à l’extérieur.

 

• Le défibrillateur sera idéalement placé à proximité de moyens d’alerte (téléphone…). Certains diffuseurs

proposent un système d’appel automatique dès l’ouverture du coffret, associé à la mise en relation sur

téléphone portatif avec un centre de régulation médicale. Certains défibrillateurs intègrent cette fonction de

communication par un réseau WIFI ou de téléphonie mobile.

 

• L’arrêté du 29 octobre 2019 fixe les modèles graphiques à respecter pour la signalisation des défibrillateurs

dans les lieux publics et dans certains établissements recevant du public (ERP) pour lesquels un défibrillateur

est obligatoire.

Six panneaux sont ainsi définis : l’un indiquant que l’établissement est équipé d’un DAE, quatre autres

permettant de localiser l’appareil, le dernier indiquant près du défibrillateur divers renseignements

administratifs et de maintenance à son sujet.

 

• Il est à noter que les mêmes signalisations de direction sont à utiliser pour indiquer les défibrillateurs

installés dans les lieux publics, même si ceux-ci ne constituent pas des ERP.

 

• Installation et signalisation dans certains établissements recevant du public (ERP)

Concernant les ERP listés par l’article R123-57 du Code de la construction et de l’habitation, l’installation

d’un DAE est obligatoire.

L’article R123-58 de ce même code prévoit : « Le défibrillateur automatisé externe est installé dans un

emplacement visible du public et en permanence facile d’accès ».

L’arrêté du 29 octobre 2019 précise : « Le défibrillateur automatisé externe est installé dans un

emplacement facilement accessible et permettant son utilisation permanente par toute personne présente

dans l’enceinte de l’établissement.

Le défibrillateur automatisé externe installé à l’extérieur de l’établissement est muni d’un boitier assurant sa

protection contre les intempéries et son maintien dans les conditions de température requises par son

fabricant. »

 

Les exploitants de ces ERP sont également tenus d’apposer les pancartes de signalisation conformément à

l’arrêté, depuis l’extérieur de l’établissement jusqu’à l’appareil.

 

Quel est l’emplacement le plus approprié ?

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